Le coup de pouce au recyclage moléculaire de plastiques en France
Le groupe americain Eastman et le québécois loop associé à Suez compte apporter un soutien à la France, afin de rattraper une partie de son retard sur la gestion des déchets plastiques. En effet, il s’agit de deux gros projets, s’inscrivant dans la réduction des exportations françaises de déchets plastiques. Selon L’ADEME, les exportations sont estimés à 750.000 tonnes en 2020.
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Pour Loop, il s’agira de créer 180 emplois à terme. Il compte mettre en place une circularité de son modèle économique. Notamment en ciblant les entreprises agroalimentaires et cosmétiques. Par ailleurs, à ce jour le groupe a signé des contrats d’achat de son plastique recyclé avec Danone, L’Oréal et L’Occitanie. Eastman quant à lui, pense embaucher 350 salariés. L’usine travaillera sur le recyclage de plastiques difficiles à recycler, comme les déchets du textiles par exemple. La prévision est de 160.000 tonnes de plastiques recycler par an.
Pourquoi choisir la France pour ce projet de recyclage moléculaire?
Mark Costa, PDG d’Eastman énumère en trois points l’intérêt d’implanter l’usine en France:
-Premièrement, il évoque la résolution du gouvernement Français à prendre les reines de l’économie circulaire. En plus, le président Français et ses ministres favorisent l’implantation d’infrastructures d’ordre écologique.
-Deuxièmement, la France possède dans son territoire un grand nombre d’entreprises. Ces organisations sont pour la plupart du secteur cosmétique, de la mode et enfin de l’emballage. De plus ces compagnies ont en commun une envie d’agir sur le réchauffement climatique et la gestion des déchets.
-Troisièmement, le territoire Français regorge d’une quantité importante de déchets plastiques. Ce qui permettra notamment à l’usine de s’approvisionner en plastique à recycler.
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